Ton regard emprisonne ma liberté
De son souffle plein de volupté
Il conte le pluriel au singulier.
Une fois que sur toi l’œil se pose
On comprend aisément oh ma Rose
Qu’à sa course le temps mette pause
Ailleurs devient alors ici
Dans ce coin de paradis
Rien que de nous deux lotis
Tu es preuve que le créateur a existé
Et qu’avec boue et bonne volonté
Il conçut un personnage de conte de fée.