On en inventerait des mots pour la dire
Tant l’alphabet, incompétent, n’a pu la décrire.
Elle domine l’humain, qui restera bouche bée,
Béat, autant le laïque que le plus pieux des abbés.
C’est la poésie qui complète la trilogie,
Pour avoir trop contemplé le visage de l’orgie;
Si bien joué, qu’en un regard, on en rougit
Puis cherche les mots pour en faire l’apologie.
C’est l’histoire de la douce, gracieuse et intense
La femme qui porte le ciel et la terre dans ses sens
Dans un équilibre parfait pour vous étourdir.
C’est l’histoire d’une de ces dames… exquises,
Qui malgré tous les mots, reste « inconquise »
Alors… on en invente des mots pour la dire.
There are 2 comments
Il ya de ma maturité dans ce poeme!
On le consomme crescendo avec volupté.
C'est sans doute l'un des tes plus beaux texte!
Il m'a sublimé!
Comme je prends le compliment a bras ouvert 🙂