Son style choco a KO ma gamme du ghetto,
Son bisou coupe courant sur mon gros cœur.
Je te parle pas de ton film de 19 heures
C'est réel et plus pro,y a pas de scénario.
Même si je science ,si je cry ,tellement je suis fan
Bonheur est trop,c'est djidji,c'est de ça je te kouman,
Djonan-djonan kà³ est devenu carie dans mes dents.
J'aime me souvenir d'elle,
Ma tendre et affectueuse perle,
Femme d'une beauté proverbiale,
Plus belle encore dans le paysage du lit conjugal.
Que DIEU me punisse, si je ne dissous pas mon effervescence,
J'ai tellement brûlé d'elle que je dois à ce temps une redevance.
Aimé à la faire bouillir, elle m'encense de câlins densimétriques,
Ma somptueuse lumière évaporant des gémissements symboliques.
Mère, si les premiers mots de chaque vers pouvaient te le dire à ma place !
Levez-vous et mettez des étoiles dans vos yeux. Dites-vous qu'autour prospère la beauté. Comprenez que la vitesse et les urgences du quotidien vous mettent des œillères. Regardez différemment les choses et vous verrez que chaque instant n'existe que par l'amour.
Les premiers diront... L'Amour de Dieu. Il est partout et il est sensé être celui qui met le monde en marche, qui lui donne une raison d'avoir des jours nouveaux.
Mais cela est trop facile et vite dit. Quel est notre rôle à nous?
Regardez de nouveau et vous verrez que l'amour est partout:
Dans un geste de patience ou dans un acte d'impatience et même de jalousie;
Dans un baiser ou dans une bise sur une joue;
Dans un regard ou dans un souvenir rendu visible par des yeux fermés;
Dans un rire ou dans une colère qu'on a réprimée;
Dans un acte sexuel comme dans une pure et chaste caresse;
Dans deux mains qui se serrent pour se présenter ou deux corps qui se serrent pour se dire au revoir;
Dans deux insectes qui veulent donner la vie ou deux œufs prêts à rendre la leur;
Dans les yeux de son âme sœur ou dans le torse qu'on donnerait pour protéger sa sœur;
Dans l'amitié née depuis l'enfance ou cette histoire passionnée qui dure grâce à l'amitié;
Dans un bébé, mariage de deux corps ou dans le mariage d'un homme et d'une femme;
Et ce n'est point exhaustif...
Dans presque tout, il y a un bout d'amour. Il est l'énergie de nos existences. Celui qui nous fait croire que l'être humain peut être meilleur.
L'amour a 7 milliards de visages. Chacun de nous lui donne une forme unique, une aura brillante, un écho plus retentissant. Pour cela, nous avons voulu que vous capturiez dans une photo ce que considérez comme un instant d'amour. De l'expression classique au regard moins orthodoxe, vous nous avez démontré à quel point notre monde peut être beau si seulement nous osons le regarder avec un peu d'amour.
La St Valentin est un prétexte. Au delà de l'amour célébré par cette fête, il y avait pour nous un vrai enjeu. Car si nous apprenons à reconnaître l'amour dans notre vie de tous les jours, il deviendra alors plus facile de ne pas passer à côté de l'amour de sa vie.
Bonne St. GlinGlin à toutes (et à tous)
Retrouvez tout le projet "a Moment of Love" en cliquant ici
Tous les yeux envient la mariée et sa robe d'ange,
Elle est élégante, majestueuse, une vraie reine,
Impatient, il l'attend à l'autel, robuste, un vrai chêne,
Seuls au monde, ils auront la bénédiction des archanges!
Deux fils d'un même anneau pour les unir à jamais,
Une prière pour les confier à la grâce de Dieu,
Qu'Il les garde et protège jusqu'à l'ultime adieu,
Un baiser, un vrai, pour qu'ils n'arrêtent de s'aimer!
Si tous on besoin de tant, ton regard seul me suffit
Pour voir que je suis le centre de ton univers!
De Verlaine, Rimbaud ou Hugo je n'aurai les vers
Mais le plus beau sourire au monde qui te magnifie!
Dans la chaleur de tes bras, le temps s'arrête,
Le ciel s'éclaire, les étoiles jouent un concert de lumière,
Les Dieux conspirent à ajouter d'autres être à l'univers,
Sans succès, nous sommes seuls et sereins au sein de la tempête!
Le monde autour s'affaire à faire tourner le monde,
Aussi vite que s'écoule le fleuve sans fin de la vie.
Avec toi, je m'évade du carcan social et à l'envie,
A tes caresses je m'abandonne chaque secondes!
Notre instant câlin de chaque crépuscule vient surprendre
La réalité des ombres moroses qui croient vivre
Parce qu'elles ont l'impression d'être libres!
Les voilà qui pointent le bout de leurs ailes
Aussitôt que la triste saison bat de l'aile.
Elles ont un flair redoutable, ces voltigeuses
Elles vous envahissent aussi lestement que des voleuses.
Vous ne les verrez qu'au dernier moment,
Et bien sur, vous n'y verrez rien d'alarmant
Elles seront partout et nul part en même temps
Car elles fuient toute étreinte tel le temps.
Ma chère, je ne puis vous cacher que vous êtes belle
Cependant vous m'avez fait penser à ces hirondelles
Quand mon destin emprunta ce mauvais chemin
Et qu'il ne s'annonçait que de tristes lendemains.
Vous êtes partie voir ailleurs de meilleures couleurs
Ne me léguant que le vent chargé de votre douce odeur.
Ma chère, de notre histoire je garde encore un douloureux souvenir
Laissez à moi seul mon bonheur, je pourrai le soutenir.
Je vous offre un grand cœur en bon état
Plus gris sombre que blanc, mais en gros, ça va:
Les lames et larmes ont fait quelques rayures,
Aigri les bords à force d'abuser de ratures.
Sans en corrompre l'âme, un poil plus dure
Certes, mais toujours adepte de ces aventures,
Qui durent plus qu'une nuit de folles orgies, de cris
Dont ne se vante jamais qu'une seule des parties.
Je vous offre un coeur froid qui a très peu ri
Mais pour qui pleurer demeure un sacré interdit,
Servez-vous de sa très petite réserve d'émotion
S'il vous vient à l'idée de faire quelque potion
Pour y faire fleurir, encore, une once de passion,
De parfums, gracieux attraits pour un fin nez
Ou, bien empaillé, sur un mur exhibez-le, parmi vos trophées...
Oh, qu'il souffre ce triste poète
Depuis que la flamme s'est éteinte
Celle qui le consumait du pied à la tête
Celle qui lui brûlait toutes ses craintes.
D'ou lui viendront désormais ces vers divins
Qu'il versait sur nos vagues visages frileux
Qui retrouvaient les couleurs d'un vieux vin,
Enchantés, par ses rimes faisant tant d'envieux.
Oh qu'il est triste ce poète qui souffre
Depuis que s'est perdue dans un gouffre
L'inspiration qui lui donnait son souffle.
Demain encore il ne quittera pas ses pantoufles,
Apeuré par l'obscurité qui désormais l'entoure,
Maudissant à jamais le destin et ses mauvais tours!