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abadajones

Amour, Autre, Déception
AMOUR LUCIDE (poème par Aurenzo Amsa)
28 novembre 2012 at 6 h 27 min 0
Comment as-tu fait pour me prendre mon amour aussi vite ?
Comment as-tu manigancé pour me voler cet amour que précieusement je gardais dans son gîte ?
De peur d'avoir mal au cœur
Peur qui sans cesse me tenaillait ce cœur
Que je n'osais offrir à  personne alors
Sentiment qui est très souvent qualifié d'or
Mais qui rapidement est décrié lorsqu'il n'est pas partagé
Et que celui qui l'éprouve se retrouve outragé
J'avais peur d'ouvrir mon cœur à  cet amour dévastateur
Mais tu as su me montrer sa délicieuse splendeur
Couchée contre ce doux confort de ta virile poitrine
Je regarde l'avenir que cet amour me fait miroiter à  travers cette vitrine
Vitrine qui semble si épaisse et incassable mais qui pourtant reste fragile
Fragile par chaque jour de routine, de sentiments vils
Qui inévitablement nous envahissent bien malgré nous
Et viennent gâcher cet avenir envié de tous
Chaque jour qui passe me voit profiter de ces moments de bonheur
Qu'on a bien voulu m'accorder et qui me tiennent à  cœur
Cependant je reste malgré tout lucide
Les aléas de la vie ayant fait de moi une personne pragmatique
M'attendant à  ce que cet amour splendide
Auréolé d'un caractère idyllique
Se meure au fil des incompréhensions absurdes. 
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Autre, Déception
QUE VALENT CES MOTS? (poème par P.A)
14 novembre 2012 at 7 h 00 min 0

Que valent ces mots
Qui perdent leur son et leur sens
Incapables de dire autant qu'ils pensent.

Que valent ces mots
Trop longs ou Trop lourds
Trop faibles ou trop courts

Que valent ces mots
Trop lâches, trop Moribonds
Trop timides ou trop poltrons

Que valent ces mots
Sinon quelques rescapés de sentiments
Blessés de s'être pris encore un vent

Que valent ces mots
Alors qu'ils ne reçoivent aucun écho
Et à  qui on tourne trop souvent le dos.

Que valent ses mots
Qui, encore une fois comme à  chaque fois
N'arrivent toujours pas à  te ramener à  moi...

Que valent ces mots...
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Amour, Autre
MAUDITS (poème par Stéphane)
14 novembre 2012 at 6 h 30 min 0
Maudit soit le jour de douleur
Où j'en tomberai amoureux!
Je vomirai tous les éléments de mon intérieur,
Des plus futiles ou plus précieux.

Maudit soit ce désir qui semble muer
Vers un autre que je ne saurai assumer.
Monstrueux! Ce semble être l'Amour
Cette idée idéaliste morte de nos jours.

Maudits soient mes vers étranges
Qui n'auront de vocation que la louange
De cet amour, cette adaptation émotionnelle
D'une nécessité physique et charnelle.
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Autre
KRONOS (poème par Nomel)
14 novembre 2012 at 6 h 30 min 0
Ma douleur porte ton nom.
Mon espérance porte ton nom.
Mon bonheur porte ton nom.
Le coeur se vide.
Le corps s'étiole.
La mémoire, comme fracassée par des nuits de beuverie sans fin,
Dilue les spasmes d'une histoire surestimée.

La colère ne change rien.
Les larmes n'effacent rien.
Le pardon n'apporte rien,
Rien si ce n'est un ersatz de sérénité,
Qui vous procure l'illusion d'une humanité préservée.

Des questions laissées sans réponse naît la colère.
De la colère récalcitrante naît la douleur.
De la douleur lancinante naît le silence.
Du silence réparateur naît l'indifférence;
Et un jour, alors tout semble enfin avoir repris sa place,
Surgit l'espérance. Simple. Haletante. Évidente.

L'espérance, la vraie,
Celle que prend racine dans votre coeur,
Celle qui s'ancre dans votre poing
Celle qui libère votre parole,
Celle qui renoue avec hier,
Celle qui ouvre le chemin de demain,
Celle qui exalte votre âme.

La douleur portait ton nom.
L'espérance porte son nom.
Le salut s'étale en quatre lettres d'or.
La douleur...? Je ne m'en souviens plus...
L'espérance...? ...elle loge ici...
Le salut...? ... quatre lettres d'or.
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Amour, Autre, Déception, Déclaration
LE MEILLEUR AMI AMOUREUX (poème par JF)
7 novembre 2012 at 8 h 00 min 0
Encore une autre rupture
Et me revoilà , donc à  la rescousse
Le meilleur ami, prêt à  tout.

Ce que je n'avoue pas, c'est sûr.
Pourtant dans ma tête, tout se bouscule.
Je te veux toi, je te vois partout.

Pourtant pour toi, notre amitié est pure.
La limite, je n'oserai jamais la dépasser.
Parce que ma vie sans toi me rendrait fou.
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Autre, Déception
L’AMOUR A L’ENVERS (poème par P.A)
7 novembre 2012 at 7 h 00 min 0
Hier nos deux corps nus
Aujourd'hui  parfaits inconnus...
Le soleil existe mais ne brille plus
Occupé à  sécher nos yeux qui suent.

Des cris, des larmes
Nos propos s'arment
Des écarts, tout devient noir
Les vestiges d'une histoire...

L'assurance complice de deux regards
Devenue timide incertitude d'un départ
Condamnée à  vivre loin de toi
Et mourir un peu plus chaque fois...

Je suis désormais seule et sans repères
Depuis que notre amour s'exprime à  l'envers.
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Autre
UN NOUVEAU TEMPS (poème par Zak)
7 novembre 2012 at 6 h 30 min 0
Un jour, un moment de plus
Une heure, des souvenirs créés
Chaque moment, un frein voulu
Parfaire tout, tout imaginé.

Une lendemain meilleur, notre espérance
Une vie qui a de la valeur, notre désir
Faire du mieux là  où on parle de chance
Donner plus et s'activer à  réussir.

Je veux exister par ma foi
Je veux vivre de mon art
Je veux M'offrir à  mon ROI
Je veux gouter cet air rare,

Un nouveau temps dans ton Royaume.
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Amour, Autre, Déception, Déclaration
QUELQU’UN POURRAIT-IL TE DIRE? (poème par Stéphane)
7 novembre 2012 at 6 h 00 min 0

Tu m'appelles cette nuit, encore en pleurs
J'accoure vers toi, moi, ton seul ami,
A tes côtés, je t'entoure de ma chaleur
Et te rassure, "tout est bientôt fini".

Mais tu me dis que tu l'aimes, pas moi, lui
En réalité, cette phrase, me détruit
Car je ne suis pas aussi fort que je dis.

Quelqu'un pourrait-il te dire combien "je t'aime"
Parce que je t'aime vraiment, je n'aime que toi
J'aimerais tellement te serrer plus fort contre moi
Car personne ne peut t'aimer comme je t'aime.

Tu es tout pour moi, tout ce dont je rêve
Tu es l'unique, l'oxygène de l'être que je suis
On aura beau échangé tout le long des nuits
Trois mots ne voient jamais le soleil qui se lève.

Et tu dis chaque fois, "Sans moi, que serais-tu?"
Mais tu ne sais pas que ces doux mots me tuent
Car je ne suis pas aussi fort que je dis.

Quelqu'un pourrait-il donc te dire combien "je t'aime"
Parce que je t'aime vraiment, je n'aime que toi
J'aimerais tellement te serrer plus fort contre moi
Car personne ne peut t'aimer comme je t'aime.


Ce poème est inspiré de la chanson de Lemar, Someone should tell you

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Amour, Autre, Déclaration
MUSE UNIVERSELLE (poème par Laskazas)
31 octobre 2012 at 8 h 00 min 0
Si Ronsard vous avait connue avant sa belle Hélène,
Il aurait su que qu'il existe des beautés éternelles,
Sur lesquelles l'ennemi ne laisse aucune séquelles
Comme l'intemporel éclat de votre peau ébène.

Si Molière avait vu vos yeux éclairer ses nuits,
Ceux de sa belle marquise aurait été si pâles
Qu'il s'écrierait dans un repentir presque théâtral:
"Belle marquise, vos beaux yeux me font mourir d'ennui!"

Si Baudelaire avait connu vos charmes ignorés,
Il aurait pu évacuer son spleen et sa tristesse
Car sentir la douceur infinie de vos tendres caresses
Aurait fait germer dans son cœur des vers revigorés.

à” muse que ma plume ne cessera de magnifier,
Quel poète saura-t-il rendre grâce à  votre grâce,
Et vous écrire un sonnet aussi unique que votre race?
Un jour peut-être, saura-t-on comment vous déifier!

Les références de l'auteur:
Sonnet pour Helene de Ronsard
A une dame creole de Baudelaire
Le bourgeois gentilhomme de Moliere
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Autre
LA BEAUTÉ INTÉRIEURE (poème par Stéphane)
31 octobre 2012 at 7 h 30 min 0
Elle n'est pas belle. Je le sais.
Sa présence ne produit aucun effet
Elle n'est pas de celles qui me méritent
Elle est parfois de celles qu'on évite.

Elle cache son visage car elle est presque laide.
Presque. Juste. Pas totalement.
De loin, rien en sa faveur ne plaide
Du moins, quand on n'est pas son amant.

Car il faut connaître les dessous de son visage
Et ne point se limiter à  observer le paysage.
Pour ses lèvres, le saint se condamnerait à  l'enfer.

Pour son sein, l'enfant renoncerait à  celui de sa mère.
Pour son étreinte, un ange renierait Dieu et le ciel
Et appellerait malédiction, sa grâce de vie éternelle.
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