Allez-y me traiter encore d’irrévérencieux
Je vous répèterai que je suis plutôt audacieux
Qui n’a pas le coeur ne peut avoir votre coeur
Ni votre corps et peut-être…ces chaudes clameurs.
Quand votre beauté n’arrive qu’à effrayer
Ces mâles attentistes qui croisent votre chemin
Je profite de l’éclat de votre visage pour frayer
La voie qui mène votre corps à mes câlins.
Allez-y me qualifier aussi d’impétueux
Et je répondrai que je ne suis qu’un courageux
Plus vous êtes belle, plus je suis empli de force
Plus j’ai de raisons de tenter une amorce.
Aucun homme ne vous avait ainsi parlé auparavant
Pensant que telle beauté ne naissait qu’au couvent.
Mais seul moi sait que toute votre résistance
N’a d’équivalent que l’abondance de votre jouissance.