Je mangerai ta chair jusqu’aux os
Et tu n’auras plus que la peau sur les os
Ma seconde chance
Ta jeunesse est fontaine de jouvence
À ma vieillesse qu’elle abreuve à outrance.
Ni charme ni mots,
J’aligne quelques billets en trop
Et ton corps s’adonne à moi plus kil n’en faut
Le jour tu préfères de honte te tenir loin
Mais comme hier soir, aujourd’hui tu me reviens
Et encore une fois, tu es de nouveau mien
Aussi longtemps que me permettra mon porte-monnaie
Mon gigolo
Mon gogo
Dans mon lit, oublies ton égo, car tu n’es plus que mon laquais
Ma marionnette de plaisir
Ma richesse te fait languir
Alors je m’amuse à te voir souffrir
À me faire croire que tu me désires.