Il ne se passe pas une seule journée
Sans que, dans une joie toute pure,
Mes pensées ne soient enivrées,
Du bonheur que, te savoir à mes cotés, procure
Il ne se passe pas un seul jour
Sans que les fous rires de ce bonhomme
N’évoque sous notre toit, la somme
De mes vœux ici-bas: t’aimer pour toujours
Biensur chaque ailette qui s’annonce comme une pause
N’efface les blessures que les mots parfois maladroits
De la veille à l’aurore, ont causé à notre cœur et ses parois
Fragiles rappelant peut-être ce que les épines sont à la rose
Mais sache que chacune de mes journées
Ne commence ni ne s’achève sans cette lueur
Cette espérance plus grande qui fait mon bonheur :
Je t’aime d’Eternité !