Encore une autre rupture
Et me revoilà , donc à la rescousse
Le meilleur ami, prêt à tout.
Ce que je n'avoue pas, c'est sûr.
Pourtant dans ma tête, tout se bouscule.
Je te veux toi, je te vois partout.
Pourtant pour toi, notre amitié est pure.
La limite, je n'oserai jamais la dépasser.
Parce que ma vie sans toi me rendrait fou.
Tu m'appelles cette nuit, encore en pleurs
J'accoure vers toi, moi, ton seul ami,
A tes côtés, je t'entoure de ma chaleur
Et te rassure, "tout est bientôt fini".
Mais tu me dis que tu l'aimes, pas moi, lui
En réalité, cette phrase, me détruit
Car je ne suis pas aussi fort que je dis.
Quelqu'un pourrait-il te dire combien "je t'aime"
Parce que je t'aime vraiment, je n'aime que toi
J'aimerais tellement te serrer plus fort contre moi
Car personne ne peut t'aimer comme je t'aime.
Tu es tout pour moi, tout ce dont je rêve
Tu es l'unique, l'oxygène de l'être que je suis
On aura beau échangé tout le long des nuits
Trois mots ne voient jamais le soleil qui se lève.
Et tu dis chaque fois, "Sans moi, que serais-tu?"
Mais tu ne sais pas que ces doux mots me tuent
Car je ne suis pas aussi fort que je dis.
Quelqu'un pourrait-il donc te dire combien "je t'aime"
Parce que je t'aime vraiment, je n'aime que toi
J'aimerais tellement te serrer plus fort contre moi
Car personne ne peut t'aimer comme je t'aime.
Ce poème est inspiré de la chanson de Lemar, Someone should tell you
Encore une nouvelle dispute,
Et la peur de te perdre me tient tourmentée.
Attends une minute.
Ma crainte, ne serait-elle pas fondée?
Hier, je n'aurai probablement pas dû
Mais tes textos, je les ai vérifiés.
De toi, elle me semblait bien éperdue.
Mon bébé, comment as-tu osé?
Mes pleurs, les as-tu entendus?
Je me sens brisée, déboussolée et abandonnée.
C'est peut-être juste une amie qui m'est inconnue.
T'en vas pas car je ne saurai comment le supporter.
Ils finissent tous sur ce chemin
Où l'on n'y arrive que main dans la main
Déterminés à avoir un différent lendemain,
Comme s'ils pouvaient redéfinir "demain".
Alors, ils s'épanchent en grande célébration
Même si au fond, ils préféreraient discrétion
Faisant pour leurs convives, une représentation.
Qui peut s'élever contre les odes de la tradition?
Ils tournent sur eux-même, dansent,
Donnant un sens aux réjouissances
Invités amusés envient leur existence
L'espérant, elle au moins, sans turbulences.
C'est ainsi du jour des noces
Qui proclame l'union de l'arbre et l'écorce
À coup de défilés dans un beau carrosse,
Oubliant que noces riment avec divorce.
Entrelacés dans tes beaux draps parfumés,
Comment pourrai-je l'oublier?
Jamais, la pensée ne m'a traversé,
Que pour toi, tu ne faisais que t'amuser.
Notre histoire d'amour n'était qu'une autre activité.
Mon coeur et mon corps, t'ai-je donnés.
Qu'en as-tu fait, si ce n'est que les utiliser?
L'été dernier, j'ai certainement bien aimé.
Bien que j'aurai vraiment préféré
Ne jamais t'avoir rencontré, mon bébé.
Peut être qu'un jour tu décideras de m'oublier,
Tu trouveras que ce n'est pas politiquement incorrect
Qu'en si peu de temps sans moi tu ne puisses être
Et que tes sentiments soient si félons, si traîtres.
Ton cœur tu essaieras en vain de raisonner
Quand tu l'entendras battre soupirer et résonner
Pour moi quand du mien il aura hâte de s'enivrer.
Et lorsque nos corps, leur union, auront scellée
Qu'ils se seront rapprochés, touchés, caressés
Tu sauras qu'ils n'auraient jamais dû se séparer.
Peut être qu'un jour tu décideras de m'oublier,
Tu te diras qu'il est grand temps de tout arrêter
Tu décideras que notre histoire appartient au passé
Mais, saurais-tu empêcher notre amour de s'exprimer ?
Entend ma peine, entend ma voix
Une souffrance que j'ai peine à museler
Qui s'extirpe de la torpeur de mon gosier
Et dit qu'au bonheur me ferme ses voies
Mon destin est fait de douleur
Il décrit en détails mes peurs
Quand Chaque jour chante mes pleurs
Mon labeur est fait d'échec et de sueur
Un travail, une partenaire, un ami
De l'argent des voyages une mie
Une vie banale, tout simplement la vie
Pourtant cet ordinaire loin de moi s'enfuit.
C'est dans l'épreuve que l'Amour s'éprouve
C'est dans les gestes que l'Amour se prouve.
Ma belle, l'illusion n'était qu'une étincelle
Cette flamme violente ne sera point éternelle.
Mon cœur n'en pouvant plus de t'attendre,
Mon corps, raison, a refusé d'entendre.
Dans la confusion de l'émoi, je t'ai trahie...
Et toutes mes promesses se sont évanouies.
Assailli par le gout amer des remords
Et incapable de t'avouer mes torts
Ta tendresse m'est devenue douloureuse
Malheureux de te voir dans l'ignorance, si heureuse.
Sous mes yeux il pleut, comme sur toute la ville il pleut
Très chère amie, ce soir sera notre baiser d'Adieu
La vie est livre et il faut parfois tourner ses pages
Un jour tu sauras, joli oiseau, pourquoi j'ai ouvert la cage.
Tes lèvres portent le souvenir de nos baisers
Mais surtout l'avenir de nos reproches
Toi mon amant, ma moitié, mon présent,
Ce qu'on était proche!
Tu devinais mes mots dans mes silences
Dans mes éclats de rires tu savais lire ma souffrance
Puis aujourd'hui, un flot de mots sans me faire entendre.
Ma patience trépigne d'impatience
Elle s'offusque de ton insouciance
Finira-t-elle par se rendre à l'évidence ?
Si tu savais ma peine et mon chagrin
Tu saurais que mon cœur t'avait fait sien
Tous mes efforts sont pourtant restés vains...
Pour une autre, tu pars bien trop tôt mon Remi
Emprisonnant l'éternité de notre amour dans l'instant
D'un plaisir égoïste qui tronque un "oui pour la vie"
Devant le maire, en un "oui pour le moment".