Je croyais que l’amour rendait heureux,
Qu’il mettait des étoiles dans les yeux
Mais ces astres n’existent que dans les cieux
Et dans ma gorge, il ya rien d’autre que des nœuds.
Je croyais que l’amour marchait à deux
Même sur un chemin étroit et sinueux
Pourtant s’y aventurer seul est le seul mieux
Partagé par tous les anciens amoureux.
Je croyais que l’amour vieillissait à l’envers
Que c’était bien le décor et non l’envers
Mais je l’ai découvert gauche et maladroit
Qui prive du bonheur auquel on a droit
Et vous arrache avec le cœur le reste de foi.
Je croyais que l’amour se faisait nuée
Et faisait de l’humain une divinité
Mais c’est simplement une éternelle parodie
Qui fait don d’un pan et arrache toute une vie.