Contre mille nuits pour t’oublier
T’aimer rimerait-il avec pleurer ?
Pleurer tout mon saoul et m’enfuir
Loin de tous ces moqueurs sourires
Qui se nourrissent de me voir souffrir
Ton absence, de ma vie, ôte les rimes
Si bien que le diable de moi se fait le mime
Reviens moi donc, toi mon plus beau millésime.