Ton visage que mes mains emprisonnent
T’ai je jamais dit que je t’aime?
Pourquoi es tu si calme, si blême?
Froide insensible aux cloches qui résonnent.
Tes lèvres restent close ma rose
Une impasse au chemin de ma prose
Viens… et si on chantait comme avant
Joyeux et les cheveux dans le vent.
Pourquoi es tu si froide et si blême
T’ai-je jamais une fois dit que je t’aime?
Si… maintenant… alors qu’il est tard
Et que ton souffle fuit à travers l’au delà .