Lorsque ton visage,
Dans la foule, ne sera,
Qu’une quelconque image,
Mon tourment, cessera.
Lorsque ton souvenir,
Dans ma mémoire, ne sera,
Qu’un inaudible soupir,
Mon tourment, cessera.
Lorsque ton nom,
Parmi d’autres, ne sera,
Qu’un vulgaire son,
Mon tourment, cessera.
L’incendie nait d’étincelles,
Un sourire fait autant de torts.
Pardonner est bien difficile,
Mais oublier, plus encore.