Vois-tu, toi seule est absente d'ici certes, Mais toutes les rues de la ville sont désertes. Quand on a connu la chaleur de tes étreintes, Il fait moins froid en hiver que sous les tropiques. (suite…)
Ces beautés-là sont interdites aux mortels,
Depuis longtemps, l'on vous le martèle.
Mais vous êtes tellement entêté et têtu,
Seule l'amère expérience vous a convaincu.
(suite…)
Te rencontrer, une bouffée d'air en apnée,
Un nouvel horizon pour mon univers borné...
Un espoir que le coeur, comme un phénix,
Peut faire de la mort, un rédempteur supplice.
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Ne vous fiez pas à son air effarouché, Elle en a vu, plus grandes, plus grosses, Que les vôtres! N'ayez pas peur de la toucher, Elle adore les subtiles et impromptues caresses. (suite…)