C’est vrai, J’aurai dû
C’était pourtant prévu
Mais voilà que je n’ai pu
Alors, ici je viens confesser
Mon tort, brulant comme cire.
Quand en moi, résonne un mot :
Pardon
N’y vois rien de louche
Rien que moi, petite mouche
qui de tout le poids de mes regrets
appuie les touches de ce clavier
Pour espérer trouver en toi
Zéro rancœur mais juste ton
Pardon
Un mot, juste un seul, si petit
Ne tenant que par deux voyelles,
Cependant un véritable sésame
Qui assurément m’ouvrira les portes
De ton cœur, aujourd’hui forteresse
Imprenable pour moi, en raison de ma faute