C’est bien parce que vous êtes le feu
Que je fonds littéralement sous vos yeux.
Vous savez… vous ferez bouillir un fleuve
Et même, chaufferez les nuages pour qu’il pleuve.
C’est bien parce que vous êtes une toute autre femme
Que ce cœur dans ma poitrine est en flammes
Point ne suis-je pyromane pour seul l’embraser
Mais quel incendie est-ce de vous embrasser?
Redondant, parfois inutile de vous dire
Qu’en mon intérieur, je brûle de désir
Pour vous. Et avant vous, pour cinquante autres
Mais nulle n’égale la moitié du plaisir
Qu’il m’est parfois impossible de décrire
Quand en votre corps, mon âme se vautre.