Archives des Autre

Autre, Déception

DEPUIS QUE TU ES PARTIE (poème par Stéphane)

abadajones 4 juillet 2012 at 10 h 30 min 0

J'ai les yeux
Pleins de larmes et de tristesse
Pleins de l'âme incomprise qui m'habite
Pleins de cette existence à laquelle je m'invite
Pleins de toi et moi qui se blessent.

J'ai dans les yeux
Que de douloureux souvenirs
Que de mots blessants, de silences à retenir
Que de détresses moins évidentes que mon regard
Que d'attentions incontrôlables qui s'égarent.

J'ai les yeux
Qui ont perdu leur lueur
Leur étincelle de vie, leur bonheur
Leur raison d'être, leur autre partie
Et c'est ainsi depuis que tu es partie.

Amour, Autre

LA PREUVE PAR DEUX (poème par Eugenio)

abadajones 4 juillet 2012 at 10 h 30 min 0

Aimer est aisé,
Aimer toujours, voilà le véritable Amour
Celui qui nait d'un regard, presque d'un hasard
D'un sourire banal mais bavard tel un discours,
Un brin de lumière dans un trou noir.

Aimer est aisé,
Trouver l'être aimé, s'y tenir et lui tenir la main
Devant les Hommes, formel, puis devant le Père
Dire "Oui", deux fois, pour sceller deux destins
C'est la preuve par deux quand c'est sincère.

Car si aimer est aisé,
Il y a plus de mérite à le prouver qu'à le clamer,
Quand on a trouvé le cœur qui nous aiguise
Il faut s'y frotter, sans peur, s'y accrocher
Assuré d'avoir misé juste et fait la bonne prise

Comme font les gens qui s'aiment,
Comme Clotilde et Stéphane
Elle sa femme, sa force et sa meilleur fan
Lui son ami, mieux, son mari,

à Stéphane & Clotilde

Amour, Autre, Déclaration

PETITE FLEUR DE BONHEUR (poème par Zak)

abadajones 4 juillet 2012 at 10 h 11 min 0

J'ai attendu pendant longtemps
Juste comme me le demandais mon coeur,
Je suis resté toujours patient,
Attendant la petite fleur de bonheur.

Tu t'es présentée, ce jour,
Avec des pétales de tournesol,
Fleur de la fidélité en amour,
Je t'ai vue, et j'ai su ton rôle.

Je lisais au fond de toi
Tout était alors plus clair
Je devais regarder tes serres
Savoir s'il pouvait s'agripper à moi.

Le bonheur ne représente rien
Sans amour, tout est vain
Qu'une illusion entre nos mains.

Je veux qu'on soit des amis
Je veux qu'on soit des amants
Je veux qu'on soit des amoureux
Je veux qu'on soit tout
Car je t'aime

Amour, Autre

DERNIÉRE DANSE (poème par Stéphane)

abadajones 27 juin 2012 at 14 h 00 min 0

De la musique. Ils m'ont dit qu'il y en avait.
Peut être? Je ne sais plus. Je rêvais.
Certainement! Je ne sais où je me trouvais.
Juste sais-je, qu'en mes bras, je l'avais.

Du monde. Il y avait, semble-t-il, autour,
A cette agitation, je pense, j'étais sourd
Car, si cette nuit avait une allure de jour
En mon monde, seuls ses bras valaient le détour.

De la terre. Ils disent, qu'on avait sous les pieds
Pourtant! Je me souviens, de nuages à nos pieds
Ou non! Peu importe... Je suis joyeux de l'oublier
Et seulement, retenir, nos doigts et corps liés.

De la Lumière. Affirment-ils, il n'y en avait pas
Ou peu! Cela importe peu, dans tous les cas
Pourtant! N'ai-je pas été, dans ses doux bras
Absorbé, ébloui, aveuglé par leur éclat?

Le temps, dans l'instant, avait des absences.
L'éternité, en passager, habitait nos sens.
Nous, possédés, au pas de cette dernière danse
Chérissions le moment comme la dernière chance.

Autre, Déclaration

L’AMOUR (poème par Zak)

abadajones 27 juin 2012 at 13 h 54 min 0

Petite orchidée de printemps,
Les fruits de ta beauté ont germé en moi.
Mon cœur est devenu un champ de fleurs d'amour,
Avec ton sourire comme engrais.
Je sais que cet amour n'est pas infini,
Car la vie est si courte.

Il est parfois difficile de dire je t'aime quand on aime,
D'aimer quand on a souffert,
De croire quand on a peur,
Mais l'amour est si beau quand les désirs du cœur,
Sont comblés par la plénitude de l'amour de celle qu'on aime.

J'ai écrit une partie de ma vie avec les larmes de mon cœur,
Je me suis senti restauré près de toi mais j'ai peur,
Les morceaux de mon être se resserrent pour m'éviter toutes rancœurs,
Mais je veux essayer malgré tout car tu restes ma petite fleur.

Amour, Autre, Déclaration

FIDÉLE MORT (poème par Stéphane)

abadajones 20 juin 2012 at 12 h 56 min 0

Je voudrais mourir dans ces lettres
Et, trois jours plus tard, renaître
Dans tes bras, te sentir, disparaître
Et être cette flèche qui te pénètre.

Que ton coeur me garde en souvenir
Douleur fugitive, arrivée sans prévenir
Amour indicible qu'on veut retenir
Ne vivre que par lui, l'avoir, le chérir.

Je voudrais être libéré de ma captivité
Cette vie de jeunesse qu'on appelle liberté
Emprisonné dans ton coeur et sa volonté
De me faire vivre les joies de la fidélité.

Autre, Déclaration

MA PRIÉRE POUR TOUJOURS (poème par Franck)

abadajones 20 juin 2012 at 10 h 43 min 0

Il y a peu de temps j'ignorais ton existence
Sans toi à présent, ma vie perd tout son sens
Tel un éclair tu y es entrée
Aujourd'hui je bénis le jour où je t'ai rencontrée.

Brisant les barrières de ma méfiance
La force de ton amour m'a imposé confiance
Brillante et pleine de valeurs
Intelligente tu présages le bonheur

Humain, tu as des défauts
Mais les supporter il le faut
Car ne pas t'accepter quand tout va mal
Et vouloir te mériter est anormal

Femme à la démarche gracieuse
Les courbes parfaites de ton corps
Célèbrent cette créature merveilleuse
Devant qui mon égo s'endort

Tous ces trésors au fond de toi
Eclosent au grand jour pour moi
Avec toi je suis un autre homme
Défiant l'adversité sous toutes ses formes

De ton doux parfum je m'enivre
Et de ta singulière voix je me délecte
Nombreux ils veulent avec toi vivre
Car tu es de la classe des selects

Repoussant les limites de l'impossible
Le succès est ma nouvelle cible
La vie m'a offert une autre chance
Vivre avec toi un bonheur immense

Osant affronter les difficultés
Tu as refusé la facilité
Au prix des sacrifices
Tu t'es éloignée des artifices.

Sans Dieu nous ne serions pas deux
Sous les cieux nous ne serions pas heureux
Ma prière pour toujours
Vivre de ton amour.

Autre

MÉRES DU MONDE (poème par Laskazas)

abadajones 20 juin 2012 at 10 h 32 min 0

Nous sommes vos fils et filles bien aimés
Et chacun de nos souffles est votre célébration
Je me ris de ceux qui attendent "un jour" pour vous acclamer
Car en vérité, chaque seconde, nous vous devons adoration.

Mère parmi toutes les Mères, je t'aime tant
Mais je ne le dis jamais assez souvent
C'est l'orgueil et la fierté d'un soi-disant grand
Qui au jour de ses cent ans ne sera pas plus que ton enfant.

JE T'AIME MAMAN.

fete des meres

Amour, Autre

L’AUTRE HOMME (poème par Laskazas)

abadajones 6 juin 2012 at 11 h 29 min 0

Mon Amour, fidélité devant Dieu et les Hommes, je t'ai juré
Et pas une seule seconde, je n'ai cessé de t'adorer.
Mais voilà , aujourd'hui j'aime un autre, autant que toi,
Mon coeur a grandi pour le recevoir et je ne sais pourquoi.

C'est le destin qui mène nos chemins et pas le contraire
Sinon comment comprendre une rencontre chez notre notaire.
Un sourire courtois mais attachant, charmant de tristesse
Celui d'un chaton perdu, demandant quelques tendres caresses.

Oh Amour, je n'ai pu m'empêcher d'inviter le méchant loup
Et mon coeur fut la bergerie ou sans pitié il massacra tout!
J'ai beau essayer de le fuir, il est d'aimant... je suis de fer

Et pour trois mots qu'il m'a dit hier, je le suivrai en enfer...
J'ai lutté comme une diablesse, mais ce soir je suis désarmée
J'espère que tu me pardonneras depuis là haut, mon bien aimé.

Autre, Société

L’AFRIQUE DES IDOLES (poème par Eugenio)

abadajones 6 juin 2012 at 10 h 26 min 0

Quand je jurais de t'aimer, femme noire femme Africaine
Mes yeux ne s'étaient point encore posés sur l'étrangère
Si pâle, pourtant si fraiche des aisselles à l'haleine,
Elle qui, mieux que toi, savait déguster le noir de mes vers.

Je n'avais en vue la cape du Black Robin des bois
Un putsch, ce n'est pas fait pour cela, juste pour le pouvoir!
Mais c'est bon d'être le modèle, accueilli à coup de hourra
Grande gueule à imiter au prétexte que tous broient du noir.

Du Noir, parlons en quand se pointe le nez du blanc
Soyons héros d'indépendances factices et mal anticipées,
Panafricains aux gros mots dehors, hors la loi dedans
L'histoire retiendra le projet et notre mort prématurée.

Et comme tout se récupère une fois les valeurs perdues
Il poussera bientôt une armée de vandale partisans
D'idées de mal comme X., adeptes du prophète Négus
Ou du capitaine sans carat, prolongeant la loi par le sang.

Alors tu pleureras, encore Afrique, mon Afrique inconsciente
Car tes guerriers sont des chimères immatures et cupides
Combattant au mousquet des têtes pleines pensantes.
Demain, si la faim ne t'emporte avant la fin, l'œil à vide

Tu sauras, enfin, qu'un sage averti vaut mille intrépides revanchards,

témoignage