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Autre

Amour, Autre, Déception
ADAM ET EVE (poème par Laskazas)
12 septembre 2012 at 7 h 30 min 0

Le début d'une chose, pour une autre en est la fin
Ainsi, quand s'évanouit la nuit, le jour vient.
Mais depuis que tu n'es plus la, tout est sombre
Et toute autre lumière ne vaut pas ton ombre!

Dans l'épreuve, se mettent en évidence les preuves.
Qui prétendait mettre frontière entre Amitié et Amour?
N'en déplaise à  ma tête, mon cœur t'aime toujours.
Tous ces regrets que je fulmine me le prouvent.

à” Amour, voila que tu es partie... vraiment
à” Amie, tu me manques déjà ... tellement
Ces vers ne consolera point ces larmes a mes yeux
Même si ceci n'est qu'un au revoir, pas un adieu.

à” Princesse d'Eden, si j'avais été Adam,
L'enfer, nous l'aurions évité aux hommes
Nous avons parcouru tout le jardin,
Sans jamais croquer la pomme.
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Autre, Cote divoire, Société
PLUS HAUT, PLUS VITE, PLUS NÉGRE (poème par Eugenio)
12 septembre 2012 at 6 h 30 min 0
"Curiosity" entame l'exploration de la planète Mars
Quand l'on se chamaille, encore, pour une vieille poudrière
Comme si Maitre Blanc préparait déjà  son départ
Alors que Nègre Noir s'acharnait à  forcer la marche-arrière ;

Ici, il ne faut pas être fair-play, donc "nous irons jusqu'au bout",
Les moyens important moins que le but : tous dans le ravin.
Car comme vous nous avez mis des poutres dans les roues
Nous allons vous casser les pédales, pour faire juste et bien.

Aux olympiades des "pro" personne ne compte se rendre,
Leur course à  la pagaille les empêche de m'entendre
Leur crier que l'étincelle ne survit jamais à  la flamme qu'elle engendre,
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Autre, Société
POLYGAMIE (poème par P.A)
12 septembre 2012 at 6 h 00 min 0
Vous  avez dit monogamie,
Pourtant d'infidélité sont faits vos lits
Mes femmes, elles se côtoient nuits et jours
Les vôtres ne se disent même pas bonjour.

Pourquoi s'empêcher de partager ?
Un cœur assez grand pour se multiplier
Pourquoi diantre se priver d'aimer?
Une de plus, point en trop n'est.

Comment choisir une seule dame dans une vie
Qui parmi plusieurs autres pourtant se poursuit
S'obliger à  limiter son amour à  celle d'aujourd'hui
Des sentiments devant l'inconnu demain, faire fi.

L'Afrique avait ses valeurs de solidarité
Auxquelles nous avons à  tort dit adieu
Jusque sur nos couches nous pratiquions la charité
Quand il y'en avait pour une, il y'en avait pour deux.

Chers vous, d'un iota je ne changerai pas mes pensées
Malgré  l'obscure blancheur de vos propos insensés
Du marié à  la concupiscence d'un cœur célibataire
Qui prêche à  cor et à  cri, votre honteux adultère.
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Amour, Autre
MAC ET PC (poème par Guy)
15 août 2012 at 8 h 59 min 0

Pour plaire, Mac sait se faire joli;
Courbes sculptées, look soigné, œil de cristal;
Là  où pour PC, tant que ça fait foot et Call of Duty,
Avec des traits grossiers relevant le plus souvent du banal.

Mac a des allures de donzelle sauvage;
Mais une fois en main; la prendre est d'une exquise ergonomie;
PC aura beau se prétendre d'un intuitif usage,
Satisfaire ses besoins est une mission voué aux gémonies.

Sans parler de ses plantages à  répétition,
Quand il a à  gérer toutes les tâches de la maison ;
Mais rien n'est aussi stable que Mac sur plusieurs fronts,
Jeunes, adultes, ça passe pour toutes les utilisations.

Car une fois installé, Mac sait rester la même,
Dévouant ses ressources au seul et même système,
PC, lui, a l'art de faire cohabiter plusieurs rondes formes
Se consacrant tant aux unes qu'aux autres avec son cœur hors-normes.

Et c'est par défaut que tous se livrent à  PC
Car au fond, tous préfèrent Mac, PC en premier
Car Mac a croqué la pomme,
et PC n'est qu'un homme.
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Autre, Cote divoire, Société
DÉFAITE NATIONALE (poème par Guy)
8 août 2012 at 10 h 34 min 0

On a beau devenir inexorablement vieux,
On n'en devient que plus stupide et oublieux;
Car quand le compteur à  piges affiche 52;
Le gris de la matière se dissout dans le blanc des cheveux.

Allons ! venons tous hisser l'oriflamme de la honte!!!
Avec chacun un large sourire, un canif caché derrière,
Applaudir nos bourreaux paradant dans notre sang qu'ils coulèrent
Tels des fans admiratifs de leurs conpétences sanguinaires

Si même à  un an, le bus de la mort suscite l'émulation,
Avec un art toujours plus grand à  la malfaisance et la corruption,
A l'heure ou la médiocrité symbolise l'identité nationale,
Qui oserait contester notre excellence à  péréniser le mal ?

Et notre remarquable génie à  la confusion,
Groupe ethnique, politique, sport et religion ?
A prendre l'autodétermination pour de l'autodestruction
Qu'a t-on donc à  célébrer, sinon la défaite nationale ?
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Autre, Déception
ET QUAND TU PARTIRAS (poème par Hervé Doumouya)
8 août 2012 at 9 h 21 min 0
Puis, vient le moment de se quitter
Partir, pour ne rien oublier
En laissant derrière nous
Un peu de notre cœur, un peu de tout.

Les saisons se succèdent
Les malheurs, les joies précèdent
D'autres bonheurs et tristesses
Une omniprésence de la détresse.

On cherche un nouvel envol
Une autre note, un bémol
Au quotidien inéluctable
Qui déchire et accable.

Et on se dit,
Face à  sa vie
Pourquoi ne pas partir ?
Loin, comme pour mourir ?

Tu te le demandes en sourdine,
Le cœur gros, la bouche fine
Si tu le fais, ne m'oublie pas
Et quand tu partiras,

Tu laisseras rien derrière toi
Rien, si ce n'est le désarroi
D'un homme, d'une ambition
Rien que des émotions.

Et quand tu partiras
Je serai là 
Par amour je t'attendrai
Pour ta réussite, je prierai

Et quand tu partiras
Une larme perlera

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Autre
L’ANTRE DE TON CORPS (poème par Stéphane)
8 août 2012 at 8 h 30 min 0
Jeune poète, je porte
En mon cœur, son corps
Céleste, qui transporte
L'amour, de vie à  mort.

Alors, prie pour notre sort
à” toi lectrice, mon aimant
Notre idylle est un trésor
Et moi, ton éternel amant.

àŠtre d'une autre sorte
Que la beauté décore
Femme intense et forte
Que mon œil dévore,

Capture moi en tes accords
Enferme une partie de moi
Dans l'entre de ton corps
Que j'en meurs d'émoi.
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Autre
L’ANNONCE DE LA DEMOISELLE (poème par P.A)
1 août 2012 at 7 h 30 min 0
Jeune demoiselle avare en pudeur
Recherche homme détestant l'épargne
Aussi fort que j'adore le champagne
Pour combler ma folie des grandeurs.

Aux adeptes de la prodigalité
J'ai à  offrir un corps en bon état
Et l'expérience longue de plusieurs ans
De la péripatétitienne au coin de la rue guettant
Une fortune à  faire passer de vie à  trepas

Pour des nuits étoilées
Vous payez en espèce et moi en nature
J'accepte les biens matériels dans une moindre mesure
Pauvres, radins et "rieneux" s'abstenir
A la Omar Sy, "PAS D'ARGENT PAS DE PLAISIR"
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Autre
L’APPROCHE (poème par Pascal)
1 août 2012 at 6 h 30 min 0

Pardon, j'imagine que mon approche vous déplait,
Mais auriez-vous une minute s'il vous plait,
Pour que je vous dise ce qui de vous me plait?

Vous vous attendez sans doute aux mêmes couplets.
Mais même si mon discours semble incomplet,
Je ne pretendrai pas pouvoir panser toutes vos plaies.

Je n'ai que peu à  vous offrir; pas même un yoplait.
Mais j'ai tout le temps pour découvrir ce qui vous plait.
Histoire, qui sait, qu'un jour vous me disiez "toi, tu me plais!"

Tiens! vous semblez sourire de mon allure de simplet...
A moins que ce ne soit parce que finalement je vous plais?!
Si tel est le cas, pourrais-je avoir votre numero...s'il vous plait?
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Amour, Autre, Déception
LES LARMES DU COEUR (poème par Hervé Doumouya)
1 août 2012 at 6 h 30 min 0
La vie est  souvent triste
Pour peu que la douleur existe
Des croisées de chemin terribles
Des regrets des soupçons pénibles.

On veut pleurer, mais plus de larmes
Tellement la douleur est cruelle
Plus de couleur dans l'aquarelle
De la vie des souvenirs comme armes.

On veut partir
Mais on craint le pire
Pas assez de force au-delà  de la passion
Rien que pour guide, l'émotion.

Il faut savoir quitter
Avec un peu de peur
Et verser toutes les larmes du cœur
Partir pour tout oublier

Le cliquetis de la montre du temps
Qui emporte en nous un peu d'enfant
Des envies de tous
Mais pas l'essentiel pour nous.

Les larmes du cœur
Les larmes de nos peurs
Face aux choix de nos malheurs
Un départ qui ne sera que frayeur.
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