Le vent qui vient du lointain des eaux
Avec le son du matin des indépendants
Premières lueurs de paix et de développement
Les premières capitales, les premiers maux
Les monuments de notre récent passé, pleurent
Oubliés et délaissés, mais restés dans les cœurs
Le drapeau orange, blanc et vert se balance à Anyama
Nous priant de laisser nos masques au carnaval de Bonoua
Abidjan, ville des mille lumières
Grand-Bassam, ville de nos pères
Bingerville, ville aux multiples visages
Dabou, ville de tous les âges
Vous aspirez toutes à la paix
Vos pleurs, maintenant sont terminées
Vos plus grands désirs seront exaucés
Et c’est tout ce qui sera fait