J’ai les yeux
Pleins de larmes et de tristesse
Pleins de l’âme incomprise qui m’habite
Pleins de cette existence à laquelle je m’invite
Pleins de toi et moi qui se blessent.
J’ai dans les yeux
Que de douloureux souvenirs
Que de mots blessants, de silences à retenir
Que de détresses moins évidentes que mon regard
Que d’attentions incontrôlables qui s’égarent.
J’ai les yeux
Qui ont perdu leur lueur
Leur étincelle de vie, leur bonheur
Leur raison d’être, leur autre partie
Et c’est ainsi depuis que tu es partie.