Plus que la fadeur de mes discours,
Nos sentiments avaient l’harmonie de la musique ;
Alors, j’ai volé ses notes au troubadour
Pour jusqu’à mourir, clamer mon amour.
Et si la lettre sait me résister,
C’est armé d’un crayon que du dessin j’abuse ;
Alors, je traite avec les amants de la muse
Pour, de mots et d’images, te composer un bouquet
Car elle est chose que je ne saurai faire,
De sorte qu’en mon cœur, mon âme espère
Que si le plus bel air n’a pu te retenir
Les poèmes les plus vrais te feront revenir
Le temps n’ayant pas su m’apprendre à ne plus t’aimer,
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