Je t’aime
Encore plus aujourd’hui que demain
Tu me pensais charognard de ton hymen
Dans une ultime tentative je te tiens la main
De belles paroles je ne suis tributaire
Je ne dispose que de moi-même pour te plaire
Tu m’as jugé indifférent
Proche de la vérité,Tu m’as fait sortir de mon rang.
Que voulais tu ?
Sûrement pas un échelonnement dithyrambique de belles arrangues aux zestes de fleurs roses
Non.
Tu ne ressembles à nul autre
Ton ombre sur moi produit l’ effet d’ un agent chimique incapacitant stérile ambroisie
Je pars sous le joug d’un poignard invisible
Je pars sous le joug d’une douleur indicible
Je pars sans aucune hérésie
J’en suis las
L’horizon me tend les bras.
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