Et de nombreux autres à compter encore
Elle n’avait jamais été aussi vaste, la mer,
Avant que vos larmes inondent le port.
Jadis, je partais heureux, cheveux au vent,
Explorer les sombres entrailles de la terre.
Aujourd’hui, les aurores au milieu des océans,
Vous ne verrez plus d’étoiles dans le ciel,
Elles sont tristes et s’éteignent chaque fois
Que je leur rappelle combien vous êtes belle,
Et quand souvent vous pleurez pour moi.
Je reviendrai, mais pas assez vite, très chère,
Comme le temps, mon navire vogue lentement.
Il me ramène vers votre sourire et mon bonheur,
Grandi mon amour, à chaque mile vers ferme terre.