à‡a n’aura duré qu’une nuit, le temps
Que les vents me mènent à contre courant,
M’éloignant de toi, pour ce pays lointain.
On se reverra, si tel est notre destin!
Je compte les jours qui séparent nos retrouvailles
Quand me laisse un répit ce maudit travail.
Les mots sont souvent aphones
Lorsque l’appel du désir résonne
Dès le premier baiser, on a senti le big Love.
Ton sourire a réchauffé ma froide alcôve
Où a la folie nous nous sommes aimés, et depuis
Le souvenir de tes soupirs bercent toutes mes nuits.