Serait-ce la naïveté qui danse sur ce visage
Qui comme pourrait l’être un paradoxe
Le rend si agréable à voir, tel un paysage,
Pourtant reflet d’une beauté peu orthodoxe.
Serait-ce au lieu de la naïveté, de la candeur
Fraîcheur rafraîchissante, petite lueur
Qui déambule librement près de ses yeux
Puis fait de ce visage, un tableau si précieux.
C’est peut-être cette vue, chancelante
Des yeux plissés, qui font l’effort parfois de voir
Ces mimiques qui se dessinent et qui plantent
Le décor… sans apparat qu’il plaît de revoir.
C’est certainement le sourire, richement ingénu
Chargé de « vrai » ou de je-ne-sais-quoi d’inconnu
Ou c’est un tout, charmant, doux pour le regard
Qui apprécie parfois le rencontrer parfois par hasard.