Elle est en haut et moi en bas.
Ses va-et-vient ne s’arrêtent pas.
Elle monte et descend
Avec des déhanchements indécents.
Comme pour lentement me faire languir,
La coquine a choisi de me faire franchir
L’un après l’autre, tous les paliers
De l’extase en prenant l’escalier.
Je prends plaisir à mater son croupion
Depuis qu’elle a emménagé dans mon pavillon.
Moi, le solitaire, toujours à part,
Je rêve, devant le vestibule de mon appart,
D’une nuit avec celle, qui est du ciel, un vrai cadeau.
Ma nouvelle voisine d’en haut.