Ainsi soit il
Va pleurer dans les draps d’une autre
Car c’est bien là ton ultime argument
Et comme à ton habitude tu t’y vautres
Je feins de te croire mais je sais que tu mens
Tu le dis souvent, chez moi t’inspire tristesse
Sous ses caresses tu atteins le mont « ivresse »
Ainsi soit il
Nos disputes deviennent étouffantes
Tu as besoin d’air, tu appelles cela respirer
Je sais que tu veux plutôt la renifler
Voir ce qu’il y a sous ses jupes bouffantes
Ce qui se cache dans chacune de ses fentes
Ainsi soit il
Qu’elle vienne donc partager notre quotidien
Notre train-train et ce qu’il nous reste de pain
Plus que moi elle connait le chemin de ton lit
On verra si elle t’appelle toujours son paradis
Ou si dès le lendemain elle te traitera de maudit